Retrouver la paix avec son assiette : mon portrait dans le magazine "Il était une fois dans l'ouest"
- Jean-François Leca
- 10 juin
- 1 min de lecture
« Manger avec son corps, pas avec sa tête. »
C’est autour de ce principe que s’articule mon accompagnement en tant que diététicien spécialisé dans les troubles du comportement alimentaire (TCA) et l’obésité.
J’ai eu le plaisir d’être interviewé dans un article paru en juin 2025 dans un magazine local, qui met en lumière mon parcours, ma reconversion, ainsi que l’approche bienveillante que je propose aujourd’hui à Charbonnières-les-Bains.
1- Une approche humaine et engagée
À 53 ans, après plus de 30 années dans l’industrie pharmaceutique, j’ai choisi de transformer une épreuve personnelle – la boulimie – en vocation.Ma thérapie de 14 mois à la clinique Saint-Vincent de Paul a marqué un tournant. Diplômé diététicien en 2024, je me suis formé aux approches spécifiques des TCA, à la psychologie des émotions, à la PNL, et j’ai adhéré aux valeurs du G.R.O.S (Groupe de Réflexion sur l’Obésité et le Surpoids).
2- Un accompagnement sans régime, sans jugement, sans balance
Mon cabinet à Charbonnières-les-Bains n’a rien d’un centre minceur. Ici, on accueille chacun avec respect et bienveillance.Je propose une prise en charge personnalisée, basée sur :
les thérapies cognitifs et comportementales (TCC),
l’écoute du corps et des émotions,
des repères alimentaires adaptés,
et une collaboration possible avec des médecins ou psychologues.
L’objectif n’est pas seulement de « perdre du poids », mais surtout de retrouver sérénité, plaisir et santé globale.
3- Où me trouver ?
49 chemin Beckensteiner, 69260 Charbonnières-les-Bains
📞 06 86 42 55 50
4- Voir l’article dans son intégralité :
L'idée de mesurer l'impact réel des interactions sur l'engagement client est particulièrement pertinente. Cela rejoint une observation que j'ai pu faire : la qualité de la communication, et non seulement la fréquence, est un levier puissant. Parfois, une seule interaction bien menée peut avoir plus de poids qu'une série de messages génériques. Cela soulève la question de la personnalisation et de la pertinence dans chaque échange. Pour ceux qui cherchent à affiner cette approche et à quantifier l'efficacité de leurs interactions, explorer les [outils d'évaluation de la relation client] peut offrir des perspectives précieuses et des données concrètes pour optimiser les stratégies.
Vous soulevez un point crucial en soulignant à quel point les signes de détresse émotionnelle chez les seniors sont trop souvent banalisés ou confondus avec le processus normal de vieillissement. Cette sous-estimation peut malheureusement retarder un diagnostic essentiel et empêcher un soutien adapté, impactant gravement leur qualité de vie. Face à cette complexité, il devient impératif de disposer d'outils fiables pour une première évaluation. Comment pouvons-nous mieux équiper les soignants et les familles pour reconnaître ces signaux subtils ? À cet égard, un outil comme l'échelle de dépression gériatrique validée peut offrir une aide précieuse pour une détection précoce et une meilleure prise en charge.
Il est souvent difficile de prendre conscience de certains schémas comportementaux ou habitudes qui, à première vue, semblent anodins. La subtilité avec laquelle ces dynamiques s'installent peut masquer des enjeux plus profonds, rendant l'auto-évaluation complexe sans un certain recul ou des repères clairs. Dans ce contexte, disposer d'un moyen simple et confidentiel pour évaluer objectivement sa situation peut être un premier pas crucial pour beaucoup. Pour ceux qui se posent des questions, un test de dépendance anonyme peut offrir une perspective utile et encourager une réflexion plus approfondie.
L'idée que la manipulation peut être une stratégie de survie chez certains individus est particulièrement fascinante. Cela soulève des questions sur la nature adaptative de certains traits. Pour ceux qui cherchent à mieux comprendre ces dynamiques complexes, explorer des ressources fiables sur les indicateurs et les caractéristiques est essentiel. Si vous souhaitez approfondir vos connaissances sur les signes distinctifs, un examen attentif de ces [indicateurs de psychopathie](https://psychopathytest.org) peut offrir des perspectives éclairantes.
J'apprécie particulièrement votre point sur la difficulté de discerner une timidité passagère d'une anxiété sociale plus enracinée. C'est une observation pertinente, car cette nuance est souvent mal interprétée, entraînant parfois un retard dans la recherche d'une meilleure compréhension de soi ou d'un soutien adapté. Dans cette optique, il est essentiel de disposer d'outils permettant d'explorer ces traits de manière plus structurée, au-delà de la simple introspection. Pour ceux qui souhaitent approfondir cette réflexion et mieux cerner certains schémas comportementaux, un test de personnalité évitante peut offrir un premier éclairage utile.